Trois Clans, Trois Chefs, Une Guerre ... |
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♫ Petit Esprit ♫
Chaton(ne) de la Tribu de la Neige
Messages : 59 Date d'inscription : 05/09/2011 Age : 26 Localisation : Au Sud de la France vers la Mer.
Feuille de Guerrier Rang: Chaton/Chatonne Mentor/Apprenti: Pas l'âge pour être apprentie. Compagne/Compagnon: J'ai que 5 lunes !!! | Sujet: Cours de Murmure du Soir Jeu 22 Sep - 18:17 | |
| Cours de Murmure du Soir :
Hey Murmure ! Voilà, pour que je connaisse ton niveau RP et ce que tu fais comme phrase pourrais-tu me faire une nouvelle ? Je ne t'explique pas ce que c'est car j'ai lu que tu le savais déjà. ^^ J'ai lu les Rps que tu as fait avec mon frère ( Vent des Lymbes ) tu as un bon style. J'aime beaucoup. Tout comme la nouvelle avec le cheval.
Donc, entrons dans le vif du sujet. La nouvelle portera sur l'Amour. Et bien sûr à la fin il y aura une chute. Si tu n'as pas d'idée ou si tu ne sais pas comment faire voici un exemple :
- Spoiler:
Tu m'avais promis, alors pourquoi es-tu parti ? L'aurore se lève. Le soleil, énorme boule de feu monte lentement dans le ciel. Il darde ses rayons aux si belles couleurs : jaune, orange, rouge, mais aussi : rose et violet. Elles teintent la mer et le ciel de mille facettes vives. Le ciel rougeoie, puis reprend son bleu originel. Quelques nuages blancs volent au gré du vent. Les oiseaux dansent et chantent dans l'aube de ce jour nouveau. Heureux d'être là tout simplement. Ils lancent leurs joyeuses trilles vers les cieux. Aucune trace du malheur qui accable mon âme et mon cœur.
# flash # ... Un regard dur et froid, deux mots emplis de fausse sollicitude : « -C'est Fini. Il est parti avec Elle. » ... # flash #
Les yeux écarquillés je me rattrape à une branche de l'arbre où je m'appuie. Je sanglote sur mon sort. Je déteste ces flash-back. Je ne veux pas me souvenir. Il m'a trahi. Point à la ligne et pourtant... L'Amour avec un A majuscule est aveugle. C'est moi qui vous le dis.
« L'Amour est une chose fragile. Comme un papillon il faut faire attention à ne pas se briser les ailes. » C'était ma Mère qui me l'a dite, celle là. Petite maxime maison. Elle me va bien. Mais je pourrais dire aussi quelque chose qui m'incarne mieux.
« Comme un papillon de nuit qui est fasciné par une lanterne, j'ai été charmée par ton charme. Et je m'y suis brûlée. »
Je me laisse aller contre le tronc de l'olivier. Le dos appuyé contre celui-ci je glisse sur le sol. Cet endroit représente tant pour moi...tant de tendres souvenirs.
# flash # ... Il passe un bras autour de mes épaules. Je me blottis contre lui. Inspire. Il sent bon le chèvrefeuille. Je lève la tête. Il m'embrasse doucement. Tendrement. « -Je t'aime. » … # flash #
Un long hurlement sort de ma bouche. Empli de désespoir. Ces « je t'aime » n'étaient que des mensonges. Sinon pourquoi m'aurait-il quitté pour elle ? Assise sur l'herbe rase de la falaise j'abattis mes poins fermés brutalement sur la terre. Encore et encore. Les jointures à vif je regarde le sang goutter sur le vert de la mousse. La douleur embrume mon esprit. Il m'avait laissé tomber pour une fille en noir. Que me restait-il ? Rien. Rien que la douleur et la plaie béante de mon cœur. Tiens maintenant je fais des rimes ? Bref, aucune importance. Je n'ai plus rien à perdre sinon la vie. Je prends dans mon sac un papier vierge. Un crayon et écris :
« Je ne peux plus vivre sans lui. Je suis désolée. Je vous aimes. Adieu... » Je me lève en tremblant et m'approche du rebord de la falaise. Je regarde presque tendrement l'horizon puis les rochers en contrebas. Les vagues se brisent sur les roches déchiquetées où nichent certains oiseaux. Je fais un pas en avant. Un bruit de moteur. Un voix masculine qui hurle :
« Non !!! Arrête !!! Marie !!!!!!!!!!!!!!!! »
Qui est-ce ? Je l'ignore et je m'en moque. Je bascule en avant et lorsque je tourne sur moi même je peux voir un visage. Un visage, des cheveux noirs et des yeux d'un vert hypnotique. Ce visage … je l'ai tant caressé. Mais là, cette pâleur ... Je le revois livide sur son lit d'hôpital. Lui qui d'ordinaire à la peau si matte ... Nathan. Mon Nathan. Je revois les yeux froid et dur de sa sœur. Et je comprends. J'avais fermés les yeux sous l'afflux de souvenirs. Je les rouvre. Stupéfaite je le vois devant moi me tendre la main. Il avait sauté à ma suite. Il murmure :
« Prends ma main »
Je la pris. Il plonge ses yeux si beaux dans les miens d'or. Un muet échange. Une énorme gerbe d'eau salut l'impact de nos corps dans l'eau salée. C'est finis. Nous sommes ensembles. Tout va bien. Nos âmes se mêlent. Je plonge dans le noir des fonds de l'immensité.
~*~*~*~*~*~*~*~*~ ~*~*~*~*~*~ ~*~*~
Un vielle femme tenant par la main son compagnon lit avec une triste nostalgie un plaque de marbre blanche veinée de rouge :
« Ici ont sauté Marie Flower et Nathan Wolf par Amour. » Le vielle homme soulève doucement le menton de sa Belle et plonge ses yeux d'un extraordinairement vert dans les prunelles dorés de celle-ci. Peau matte contre peau blanche. Leurs regards se mêlent. S'épousent. Ils s'aiment et c'est tout ce qui comptent. ~*~*~*~*~*~*~*~*~ ~*~*~*~*~*~ ~*~*~
Voilà. Tu as ton exemple. Maintenant c'est à toi de jouer. ^^ J'attends avec impatience ta Nouvelle.( Fais pas attention aux fautes la flemme de me relire correctement. --'' )
Bonne chance Murmure ! |
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| Sujet: Re: Cours de Murmure du Soir Jeu 29 Sep - 20:33 | |
| Oh ! J'avais pas vu, désolé. J'adore la création !!
Pas facile facile ce thème, mais je pense avoir mon idée. Es-ce que par exemple je pourrais faire croire qu'il s'agisse d'un amour, mais qu'en fait ce n'est rien du tout ? Je vais réfléchir à tout ça et je me lance :). |
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| Sujet: Re: Cours de Murmure du Soir Jeu 29 Sep - 22:12 | |
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J'était assis sur une chaise longue dans le magnifique jardin d'Elisa. Je la regardait dormir paisiblement, les yeux fermés, sa magnifique cascade rousse retomber sur ses fines épaules, ses jambes croisées et ses mains posées délicatement sur ses genoux. Aujourd'hui elle portait une robe à fleur, elle était magnifique, un grand chapeau de paille posé sur sa tête la protégeait du soleil brûlant du début d'après midi. Elle était si belle, mais un seul homme comptait pour elle, et ce n'était pas moi qui avait droit à ses petits soins, c'était Jean, d'ailleurs il dormait à l'étage à l'abris des rayons du soleil. Je le détestait, Elisa n'avait d'oeil que pour lui, c'est tout le temps Jean, il était à ses petits soins, et moi c'est à peine si j'existait. J'avais l'impression d'être un fantôme. Pourtant je pourrais lui apporter beaucoup plus de bonheur que Jean, il ne faisait que dormir, et lorsqu'il ne dormait pas il pleurait ou mangeait. Il était fragile et elle ne pouvait rien tirer de lui, toujours elle s'occupait de lui, jamais elle n'était tranquille, mais c'était l'homme de sa vie, celui qui ne la décevrait jamais disait-elle. Si seulement il pouvait ne pas être là, la vie serait tellement plus joyeuse. Mais son apparition avait nuit à ma bonne humeur.
Elisa se réveilla, batti de ses fines paupières peinte de bleu avant de regarder sa montre ornée d'un bracelet d'argent. Elle se leva paniquée de sa chaise en murmurant un "Jean" apeuré. Puis elle détala pour aller le voir. J'attendis quelques instants, mais elle ne semblait pas vouloir descendre. Qu'es-ce que j'aurais pas fait pour qu'il n'entre pas dans sa vie ? Me demandant ce qu'elle faisait je décida de me lever à mon tour et de la rejoindre. Je monta les escalier en chêne. Des photos de Jean ornaient le mur, j'aurais aimé les mettre au feu ! Il était si moche, une tête chauve et un corps grassouillet. Mais elle le trouvait beau, adorable, je voulais lui ouvrir les yeux, il était si laid et ne lui apportait rien. Alors que je m'apprêtait à toquer à la porte de la chambre j'entendis des bruits, elle était encore avec lui ? Depuis tout ce temps ? Je ne supportait plus. J'entra dans la chambre juste après avoir toquer, sans même attendre la réponse. Tous les deux étaient sur le lit, Elise dénudée. Elle baissa son T-shirt avant de me regarder sévèrement. Tandis que Jean avait les fesses à l'air.
"Qu'es-ce que tu fais ici ?!" me demanda-t-elle d'un ton sec.
Je la regarda, puis je regarda Jean qui ne disait rien, il faisait des bruit bizarres mais je n'y fit pas attention. Elle non plus d'ailleurs, elle attendait ma réponse. Alors je lui dit d'un ton presque énervé :
"Je me demandais ce que tu faisais tu étais longue"
Puis sans même attendre de réponse je tourna les talons et claqua la porte derrière moi. Dans quelques temps ils iraient tout les trois au marché pour acheter des produits frais, c'est meilleur pour la santé d'après Elisa. Acheter des fruits, des légumes, du fromage et un poulet rôtis, elle adorait les poulets rôtis. J'attendais sur le palier de la porte, le temps que les deux finissent. Une si belle journée gâchée ! Il aurait pu la passer avec elle au bord du lac avec un délicieux pique nique, mais non Jean passait en premier et depuis qu'il était là on ne faisait plus rien. C'était Jean, Jean et Jean à longueur de journée ! ça commençait à me chauffer le système.
"On peut y aller" Dit Elisa qui venait de descendre les escalier.
Je me retourna et la regarda, Jean dans ses bras.
"Tu ne prend pas la poussette pour Jean ?" Demandais-je en marmonnant dans ma barbe. "Si, elle est dehors, je la prend au passage".
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Feuille de Guerrier Rang: Chaton/Chatonne Mentor/Apprenti: Pas l'âge pour être apprentie. Compagne/Compagnon: J'ai que 5 lunes !!! | Sujet: Re: Cours de Murmure du Soir Ven 30 Sep - 16:06 | |
| ( Murmure ? )
C'est très sympa ^^ mais j'ai une imagination zarbie et j'ai deviné avant la fin que 'c'était un bébé. ^.^" Tu écris bien et j'ai du mal à comprendre pourquoi tu as besoin de moi. Bref, tu veux t'améliorer sur quoi précisément ? A et comme note je te mettrais 19/20. 19 car tu as fais quelque petites fautes de français. Et ça c'est dommage car c'est des trucs bêtes. Lit le à voix haute si ça peut t'aider. Tu entendras peut être des dissonances et ça te permettras de te corriger. |
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Invité
Invité
| Sujet: Re: Cours de Murmure du Soir Ven 30 Sep - 16:22 | |
| J'ai 4 comptes ^^: trèfle, renard, soir et céleste.
Ton frère m'a montrer un de tes textes avec les étudiant de médecine ou vétérinaire je sais plus, et j'ai vraiment adoré. Moi je serais pas capable de l'écrire comme ça. Pour les fautes je m'en doutait, sur l'ordi je n'arrive pas à faire un sans faute, sur le papier oui, c'est un peu bizarre.
Ben mince alors ! J'ai raté ma chute x). |
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♫ Petit Esprit ♫
Chaton(ne) de la Tribu de la Neige
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Feuille de Guerrier Rang: Chaton/Chatonne Mentor/Apprenti: Pas l'âge pour être apprentie. Compagne/Compagnon: J'ai que 5 lunes !!! | Sujet: Re: Cours de Murmure du Soir Ven 30 Sep - 17:54 | |
| A ça : ( voici la suite si tu veux : - Spoiler:
Espérance
L'espoir trouve sa source dans la douleur du présent et le rêve d'un lendemain meilleur. Julie Mourren Hérault; Montpellier École Vétérinaire; Cours de Français 8H30; l'Heure où l'on voudrait se réveiller, pour voir que ce n'était qu'un cauchemar
Le cours de français se passe en silence sous la dictature de Mme Désirée. Une vieille institutrice qui pense que personne ne travaille assez et que ses élèves sont tous incompétents. Ou du moins c'est l'impression qu'elle donne à ceux-ci. Toujours est-il que les seules choses audibles dans cette salle de classe sont le bruissement des feuilles, le «gratt-gratt» des stylos sur le papier. Ainsi que le «tic-tac» d'une ancienne horloge du 19ème siècle. Elle égrène bravement le temps qui passe, telle l'eau d'une rivière qui ne cesse de couler vers l'Océan. Patiemment et indéfiniment. Une mouche vole, ses ailes translucides battent, vrombissent. Un claquement sec. Le calme et le silence volent en éclat. Elle a eu tort de se poser. Les apprentis vétérinaires sursautent en un bel ensemble. Ils respirent profondément pour calmer les battements de leurs cœurs affolés. Ils baissent les yeux sur leur rédaction et regardent avec tristesse les taches qu'ont fait leurs stylos plumes sur la page qui était propre ou les traits qui partent du mot ou de la lettre qu'ils étaient en train d'écrire. Certains raturent ou barrent le mot ou la phrase que le bruit impromptu leur a fait rater. Tous ou presque ruminent en silence l'énième ''gentillesse'' de Mme Désirée. Une vingtaine de jeunes pensent :
«Fichu bonne femme !»
La rage au cœur ils la regardent -garçons et filles confondus- avec dégout essuyer avec application les restes de l'infortunée mouche. Le mouchoir blanc prend une couleur qui hésite entre le vert kaki et le marron fade. Dégoutées les filles détournent le regard. Les garçons, eux, observent avec une fascination morbide. Puis ils la suivent du coin de l'œil pendant qu'elle se lève de son fauteuil et se dirige vers la poubelle où elle jette l'immonde kleenex. Les adolescents se mettent à parler entre eux et à se révolter. «-Elle dit qu'elle veut qu'on travaille en silence et concentrés. Comme on peut se concentrer alors qu'elle trucide toutes les mouches à sa portée ? »
Dit une fille brune au yeux pétillants à son voisin de table, un jeune noir aux dents blanches et aux yeux sombres qui rétorque d'une voix froide :
«-On peut pas. Il ajouta plus bas, De toute manière on ne peut pas le lui dire. Elle nous collerait un rapport sur le dos. La seule qui pourrait, ce serait Julie.»
Il y avait de l'admiration dans sa voix quand il dit: Julie. Elle avait vraisemblablement l'admiration de ce jeune voyou. Ce qui ne devait pas être rien au vu des cicatrices sur ses avant-bras. Les prunelles de sa voisine fixèrent une blonde au 2ème rang. Celle ci parle par signes et mimiques avec une jeunette aux iris d'un vert extraordinaire et à la crinière noire. Ainsi qu'avec un beau garçon à la chevelure de sombre acajou et au regard d'acier. Mme Désirée tape dans ses mains et fusille ceux qui parlent encore. Une voix forte s'élève alors que le silence est à nouveau là : «-A quoi bon, c'est une sale peau de vache. Qu'elle aille en enfer !!!» Le silence retrouvé se fit pesant. Les regards fuyants. Les battements de cœur s'accélèrent. Angoissés, tous attendent l'explosion. Elle ne se fit pas attendre. Mme Désirée se redresse sur sa chaise où elle attendait une nouvelle victime volante et entendant l'insulte crie de sa voix aiguë :
«-Qui est l'inconscient -ou l'inconsciente- qui a proféré cette insulte à mon égard !?!?! Qu'il -qu'elle- se dénonce à l'instant !!! Que cette personne craigne les représailles car elles seront terribles !!!!...Keuf-keuf...»
Elle s'étouffa à la fin de sa tirade, mettant fin prématurément à son discours habituel sur l'idiotie des enfants du 20ème siècle et leur grossièreté. Ses yeux injectés de sang étaient rouges. Contrastant fortement avec ses iris d'un bleu très pâle presque blanc. Mais seul le silence lui répond. Nul ne parle. Tous s'angoissent. Elle eut un soupir faussement contrit et dit, mauvaise :
«-Bon. Puisque c'est ainsi je vais compter jusqu'à trois. Si à trois, personne ne se dénonce, ce sera DES heures de retenues pour toute la classe ainsi qu'un rapport comportemental sur chacun d'entre vous. Me suis-je bien faite comprendre ?» «-Oui.»
Un tout petit mot, dit par ses élèves avec une haine froide. Alors ça ! Elle sait y faire la mégère pour s'attirer les foudres de ses étudiants ! La plupart la haïssent. Les autres, s'en moquent. Elle recule légèrement pour les avoir tous dans son champ de vision et commence le décompte :
«-Je commence: Un...,» personne ne dit mot, «Deux...Toujours personne ?» Une fille aux cheveux courts et blonds se lève, «Et bien Mlle Mourren ? C'était donc vous ?» «-Oui Madame.»
Deux mots, dit avec arrogance et fierté. La dite ''Madame'' n'a pas l'air de croire en sa culpabilité, mais... heureuse d'avoir quelqu'un sur qui hurler elle ne dit rien. La peau de vache se déchaine, criant tant qu'un surveillant vient voir ce qui se passe et qu'un autre professeur arrive dans la classe demander le silence. Sourire ironique de l'accusée. Seule la vieille a crié. On ne peut l' accuser. Elle serre les poings lorsque que l'enseignante en profite pour l'exclure. Elle n'aime pas. Ça va faire tache sur son Bilan Trimestriel et baisser sa moyenne de comportement. Ses fins sourcils se froncent et son regard s'assombrit. Elle le lui fera payer. Peut être par des punaises sur sa chaise ? Qui sait. Elle récupère ses affaires sur son bureau, demande à ses amis de prendre les devoirs et la leçon pour elle, s’ils finissent en avance leurs rédactions. Puis elle accompagne l'homme vers la sortie. Se retourne, et avec un sourire carnassier dit :
«-A tout à l'heure.»
Elle plonge ses yeux étoilés d'or dans ceux d'un bleu délavé de son ennemie et tourne gracieusement les talons, le surveillant la précédant de près.
°*°*°*°*°*°*°*° °*°*°*°*° °*°
J'étais furieuse. Maxime le Pion me suivait tandis que je jurais et grognais toute seule. Dégommant tout ce qui se trouvait sur mon passage et qui n'avait pas la très bonne idée de se pousser. Ainsi, un pauvre casier dont la porte avait juste eu le malheur de s'ouvrir tandis que je passais se prit une droite : au départ c'était pour me calmer. Mais tout ce qui en a résulté c'était des phalanges très très douloureuses. Idiote moi-même ! Le Pion siffla avec appréciation. Il m'aimait bien, moi et mes manières directes... J'esquissais un sourire en imaginant Mme Désiré saignant du nez après l'impact de mon poing dans le faciès qui lui servait de visage. Je regardais ma montre : 8h35. Maxime brisa le silence qui s'était installé entre nous dès que nous étions sortis de la classe : «-Qu'est-ce que tu as fait cette fois Julie ?»
Son ton était amusé mais aussi très fatigué.
«Tu as encore mis des punaises sur sa chaise ? Mis de la glu sur son stylo ?» «-Non, non et non !!! Mais rien je te le jure Maxime !»
Note à moi-même, le coup de la glu sur le stylo n'était pas une mauvaise idée...faudrait que j'y réfléchisse.
«J'ai juste plaidé coupable pour quelque chose que je n'ai pas fait ! Je n'aurais pas du d'ailleurs. »
Je poussais un grand soupir. J’étais la Reine des Nouilles. Ma mère me l’avait répété une bonne centaine de fois. Ne jamais jamais au grand jamais dire que le coupable c’est soit si ce n’est pas vrai. Mais il y a Marie. Et si elle retournait chez elle avec des heures de colle et un rapport elle en aurait bavé. Et ça il en était hors de question.
« C'est un mec qui l'a traité de sale peau de vache, pas moi ! Enfin...pas cette fois là.»
Ajoutai-je en un sursaut d'honnêteté. Nous étions face à face. Je soutins son regard et il dût comprendre que je ne rigolais pas car il m'ébouriffa les cheveux -que je portais court à cause de la chaleur- il était gentil. Cette fois je lui fis un vrai sourire et il dit :
«-Je te préfère souriante. Quand tu fais la gueule, tu fais peur et tu défonces tout sur ton passage. Ce casier, tu es sûre qu'il l'avait mérité ?»
Il me regardait de ses yeux marron chocolat avec un air de petit chien perdu. Trop chou !
«-Ah, euh...non. Mais ça défoule.»
Moi je devais avoir l'air plus qu'embarrassé. Petite grimace. Je sens alors le sol se dérober sous mes pas. Je pousse un cri de souris et essaye de me rattraper. J’attrape le bras de Max et l’entraine dans ma chute. Nous étions près des escaliers malheureusement pour nos postérieurs. Ce fut un peu comme de la glisse. Nous étions sur une sorte de rampe. Enfin…nos jambes étaient dessus, pas nos pauvres fesses ! Waille !!! Je crois qu’arrivés en bas, environ 200mètres de glisse nous avaient ruiné le dos. Le jeune surveillant se releva péniblement et se frotta énergiquement le cul et cambra le dos en grimaçant. Je relevais la tête et me massai les reins et les fesses qui m’étaient particulièrement douloureuses. Nous nous regardâmes et il se prit un fou-rire. Contagieux car l'instant d'après nous riions et pleurions ensemble de rire. Appuyés l'un sur l'autre pour ne pas tomber. Ceux qui nous croisaient , devaient se demander s’ils ne devraient pas appeler le Samu. Alors que ma crise de rire était presque finie cette pensée me relança et lorsque je lui en fis part, il m'accompagna. Pendant dix bonne minutes on ne put parler sans trembler de rire. C'était horrible, j'avais mal au ventre...Quand nous réussîmes enfin à nous arrêter ce fut les yeux brillants, les joues en feu et des crampes à l'estomac. Il reprit la conversation:
«-Elle t'a exclue. »
C'était une constatation, pas une question. Pourtant, je répondis quand même.
«-Oui. » « -Il n'y a plus de place en Salle d'Exclusion. » «-Oui...que quoi !!?!! »
J'avais répondu sans réfléchir. Puis, ce qu'il avait dit arriva à mon cerveau et je réagis. Fort. Il se massa l'oreille où j'avais crié.
«-Du calme. Moins fort. Je répète: il n'y a plus de place en Exclusion, et idem en Étude. On peut pas te garder. Tu as quoi à 9heures ? » «-Mmmais... »
J'en avais perdu la voix. Temporairement et je répondis :
«Français. On a 2heures d'affilée. C'est cool hein ? »
L'amertume de ma voix le fit ciller. Son regard se fit acéré et il dit: «-Tu ne l'aimes pas. Elle m'a pourtant l'air d'une bonne mamie. Mais peut-être que j’ai tort, et si oui, pourquoi ?»
J'écarquillai les yeux quand il affirma que la Mégère lui avait fait l'impression d'une gentille ''granny'' je fis:
«-Non seulement je ne l'aime pas mais je peux pas la voir en peinture ! Elle est...ignoble ! Elle s'en prend aux faibles et humilis les gentils tandis qu'elle laisse les méchants faire ce qui leur chante !! La vision de ses petits yeux de fouine me répugnent.»
Il sourit et acquiesça d'un air entendu. Nous pensions la même chose:
*Vieille peau de vache.*
Je replongeais dans mes pensées et tandis qu'il partait d'un côté, moi je me dirigeai vers le parking. Au dernier moment je me retournai et crier :
«-Si tu vois Marie et Peter dit leur de ma part de venir à l'Appart' ! Je suis prête à parier qu'elle va les virer dans pas très longtemps.» «-Sûre ? »
Il affichait une moue dubitative aussi je rajoutais avec un grand sourire,
«-Certaine. A plus ! » «-OK. Bye ! »
Bon, il n'était toujours pas convaincu mais il transmettrait le message. C'était déjà ça de gagné.
°*°*°*°*°*°*°*° °*°*°*°*° °*°
Elle quitta le surveillant et se dirigea vers le parking. Ses gestes sont fluides, mesurés. Elle n'a pas un seul geste en trop. Ses enjambées sont longues et ses cheveux courts volent sous une brise légère. C'est une odeur parfumée. Fruitée. Mais aussi un soupçon de miel. Elle inspire longuement et rejette la tête en arrière. Elle rit. Elle est libre. Elle tourne sur elle-même, espère que cela dure toujours. Elle trébuche et tombe lourdement sur son fessier. Grommelle et se relève en se massant le postérieur. Soupire, puis, se dirige vers une moto noire et doré. Une Yamaha. Elle tend la main et effleure d'une caresse le cuir crème du siège. Se calant confortablement contre celui-ci elle patiente en regardant les véhicules de ses amis. Marie avait une coccinelle verte et gris métallique tandis que Peter avait un quatre-quatre rouge et blanc. C'était leurs couleurs. Elle laisse voguer ses pensées et distraitement sort son casque du coffre de l'énorme moto. Y met à la place son sac de cours d'où elle sort un carnet de dessin et elle commence à esquisser des traits. Bientôt sur le papier apparaît la tête, fine et racée d'un cheval. Puis le corps, puissant et souple. Pour finir par les membres et les crins. L'équidé est cabré. Sa gueule ouverte suggère qu'il hennit. Et les crins qui volent en tous sens qu'il y a du vent. Ses yeux écarquillés, l'un clair et l'autre foncé, montrent qu'il a des yeux vairons. Sa robe, luisante de sueur peut-être et ses nuances de gris forment les taches qui parcourent son corps puissant. Pour finir son œuvre elle marque en titre : « Faël ». C'est à ce moment que des bruits de pas sur le gravier lui parviennent. Des brides de paroles aussi. Assourdis par la distance. Relevant la tête et rangeant son dessin elle crie :
«- Salut les amis ! Vous en avez mis du temps ! On doit aller faire les courses je vous rappelle. » «- Rho...! Ça va Madame le Chef ! N'est-ce pas Peter ?»
La jeune vietnamienne tourna ses yeux de jade vers son acolyte et lui fit les yeux doux.
«- Totalement d'accord avec la miss Marie !»
Répondit le rouquin ravi de l'attention que lui portait cette ravissante jeune femme à la langue aussi aiguisée qu'un rasoir et qui lui faisait chavirer le cœur.
«- Pifff...de toute manière il est tout le temps avec toi. C'était pas la peine de poser la question, si tu lui avais demandé, si tu lui avais dit que j'étais une femme-chat, il t'aurait cru. Comme quoi l'amour rend stupide. »
Elle avait dit tout cela d'un ton résigné mais sur la dernière phrase il était devenu espiègle. Marie se retourna tout d'un bloc regarder Peter et il devint écarlate. Elle dit: «- C'est vrai ?»
Ses yeux verts étaient ronds comme des soucoupes et son ton empli d'espoir. Julie soupira, ça faisait des plombes que ses deux meilleurs amis craquaient l'un pour l'autre et tout le monde le savait. Sauf les principaux intéressés. C'était un comble ! Elle les regarda et soupira. Une fois de plus elle allait jouer à Cupidon. Elle fit donc les gros yeux au Rouquin qui avait l’air d’avoir avalé une arête de travers. Il la regarda d’un air désespéré. Cela la fit rire. Un grand rire pur. Elle riait. Quand Peter faisait cette tête, impossible de rester sérieux ou de ne pas rigoler. Même Marie s'était déridée, la tête penchée sur le côté ses longs cheveux noirs cachant à moitié ses yeux verts qui brillaient du même éclat gai qui éclairait ceux de ses compagnons. La détresse de Peter était une preuve suffisante pour qu’elle comprenne. Elle n’était pas stupide. Ils étaient heureux. Marie était heureuse.
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Qui aurait pu croire que ma vie basculerait si soudainement ? Certainement pas moi en tous cas. Peut être même personne. Mais pourtant... Tout se joua lorsque mon téléphone portable sonna. La musique de l'Opéra Rock retentissait dans l'air chaud de l'après-midi. J'avais sursauté. Il était normalement éteint car nous n'y avions pas droit en cours et après avoir était viré du cours de Madame Désiré je ne l'avais pas rallumé. Je me souviens avoir pensé :
* Mais comment Diable peut-il sonner alors qu'il est éteint ?*
La réponse était simple et pourtant je ne sus la réponse que lorsque je sortis mon portable de ma poche. C'était un appel d'urgence. Le numéro s'affichait tandis que la musique continuait. C'était le numéro de ma Mère. Je le reconnus au premier coup d'œil. Avec gaieté j'avais décroché et lançai un joyeux :
«- Hello Maman ! »
Ce n'était pas ma Mère. Ni mon Père. L'inconnu qui avait le téléphone de ma Maman soupira à l'autre bout du fil. Il dit :
«-Mlle Mourren ? » « -Oui c'est moi. Que faites vous avec le mobile de ma Mère ? Et d'abord qui êtes-vous ?!»
Mon sourire s'était effacé, comme fanent les roses quand l'hiver vient. Ma voix était glaciale. Un peu plus je grondais. J'étais en colère. Si il lui avait volé son téléphone...
«-Je suis le Docteur Montgomery et je suis désolé. Vos parents ont eu un accident de voiture. Ils sont morts. Je suis désolé, nous n'avons rien pu faire...»
Un abime...un gouffre sans fond. Vous savez ce que c'est ? C'est un trou. Un trou qui plonge vers les entrailles de la terre et en l'occurrence c'est dans un gouffre/abime que j'avais l'impression de tomber. Ma gorge s'était serrée et mon portable avait glissé de ma main a cause de la sueur qui m'avait soudain couverte de la tête aux pieds. Il était allé se fracasser contre le sol de béton. Explosant en une dizaine de morceaux disparates. Toutes les personnes présentes autour de moi s'étaient retournées brusquement à ce moment là. Ce n'était pas dans mes habitudes d'être maladroite. Ils me dévisageaient les yeux ronds. Je savais de quoi j'avais l'air. Une grande fille. Élancée avec un visage harmonieux où deux yeux d'un noir profond étoilé d'or mais emplies de larmes. Des yeux et un nez écarlate et qui coulent. J'étais sûrement horrible. Je me laissais glisser sur le sol en béton du collège et me roulai en boule à même le sol. Ma détresse était grande. Je me sentais coupable. Mes parents étaient morts et moi je riais comme une demeurée !!! J’entendais des sons. Ils étaient sourds, comme si j’étais séparée du monde extérieur par une bulle. Un mur de silence. Une voix parvint à la briser. Celle de Marie, puis celle de Peter :
«- Julie !!! Julie qu’est-ce qu’il y a ? »
Ca c’était ma petite Marie. Je dis :
« -Laissez moi tranquille ! Je veux mourir !!! »
Peter me dit d’une voix sèche et autoritaire :
« -Allons …Julie ça ne peut pas être aussi grave que ça. Ce n’est qu’un portable, tu en rachèteras un mieux. C’est d’accord ? » Je ne répondis pas. Il n’avait rien compris.
« - Allez, lève toi. » Il me saisit le bras et me releva de force. J’étais lessivée, je pris une grande inspiration et ma voix se fit menaçante :
« -Lâche moi Peter. » « -Non je ne te lâcherai pas. M*rde ! Ce n’est qu’un portable ! »
Je me récriai :
« -Mais je m’en fous de ce portable ! Mes parents sont morts ! Morts !!! Tu comprends ça ? »
Les yeux métalliques du jeune homme s’arrondirent sous la stupéfaction et il me lâcha. Je serais tombée sans Marie. Elle me prit dans ses bras et je me laissai aller...
°*°*°*°*°*°*°*° °*°*°*°*° °*°
) Je comprends ce que tu veux dire que tu dis pour les fautes. ^^" J'ai le même problème... XD |
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| Sujet: Re: Cours de Murmure du Soir Sam 1 Oct - 14:28 | |
| Merci. Je lirais plus tard, là je manque de temps... xD |
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Chaton(ne) de la Tribu de la Neige
Messages : 59 Date d'inscription : 05/09/2011 Age : 26 Localisation : Au Sud de la France vers la Mer.
Feuille de Guerrier Rang: Chaton/Chatonne Mentor/Apprenti: Pas l'âge pour être apprentie. Compagne/Compagnon: J'ai que 5 lunes !!! | Sujet: Re: Cours de Murmure du Soir Sam 1 Oct - 18:35 | |
| Y a pas de soucis c'est juste au cas ou tu aurais voulu la suite. ^^" Tu veux qu'on fasse quoi maintenant ? |
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| Sujet: Re: Cours de Murmure du Soir Dim 2 Oct - 12:11 | |
| Ben oui que je voulais la suite !! ^^
Ben je sais pas x). Si tu sais pas comment m'aider on peu laisser tomber. |
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Chaton(ne) de la Tribu de la Neige
Messages : 59 Date d'inscription : 05/09/2011 Age : 26 Localisation : Au Sud de la France vers la Mer.
Feuille de Guerrier Rang: Chaton/Chatonne Mentor/Apprenti: Pas l'âge pour être apprentie. Compagne/Compagnon: J'ai que 5 lunes !!! | Sujet: Re: Cours de Murmure du Soir Dim 2 Oct - 13:37 | |
| Envois un RP où tu as pas eu d'inspi' et je le lis et t'indique ce que tu pourrais mettre pour ralonger. Ca te va ? |
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| Sujet: Re: Cours de Murmure du Soir Dim 2 Oct - 19:07 | |
| Ouais bonne idée ! Justement j'en ai un ! :D
En fait Miel est parti à l'aventure pour la première fois. Sauf qu'il s'est perdu et avait faim. Il a senti de la nourriture et y est allé (décharge) a un moment il entend du bruit et voit un chat, il a peur donc il recule, mais en fait un homme approche avec un filet et elle siffle pour le prévenir.
La queue entre les jambes Nuage de Miel reculait doucement en faisant le moins de bruit possible dans la poubelle. A présent qu'il faisait attention à ce qui l'entourait il sentait les odeurs, elles puaient et il serais bien aller ailleurs. Maintenant il avait peur d'être malade en mangeant quelque chose d'indigeste. Mais pour le moment il avait autre chose à penser qu'a sa santé, il devait penser à la menace qui était devant lui, plus puissante et plus rusé que lui, lui qui ne savait même pas attraper une simple souris, qui ne savait pas différencier les odeurs et qui ne savait pas se battre. Il était tout seul et personne ne viendrais l'aider, tous dormaient paisiblement au campement sans avoir remarqué son absence. Il ne pouvait compter sur personne, sauf peut-être le clan des Etoiles. Mais c'était pas sûr non plus qu'il lui apporterais l'aide qu'il faudrait. Son coeur battait la chamade, et manquait d'exploser, mais un sifflement lui fit redresser ses fines oreilles triangulaire, relever la tête, sortir la queue d'entre les jambes et se redresser sur ses courtes pattes. Il sorti de la poubelle d'un pas rapide avant de savoir ce que le félin lui voulait. Apparemment elle ne lui ferais pas de mal, vu qu'elle avait sifflé, savait qu'il était là et n'avait pas l'impression de vouloir attaquer. Il sorti en entier de cet endroit puant abandonné par les bipède puis mit peu de temps à trouver ou était la féline qui avait siffler. Elle semblait paniquer, mais il y avait de quoi, un bipède se rapprochait de lui, une arme à la main. L'apprenti aurait pu jurer sur n'importe qui qu'il n'avait pas de bonne intention derrière la tête. Heureusement que la chatte était là, sans quoi il ne savait pas comment il aurait fini, il n'osait même pas imaginer. D'un pas vif et élégant il rejoignit la femelle aussi noir que la nuit avec de magnifique yeux bleu dans lequel on pourrais se perdre si on les fixait trop longtemps. Il ne savait pas où aller vu qu'il ne connaissait pas les alentours, mais il savait qu'il ne devait pas rester ici alors la direction ça sera pour plus tard. Il souffla un "vient" à l'intention du félin qu'il n'avait jamais vu et couru aussi vite qu'il pu pour échapper au bipède qui semblait leur vouloir du mal. Il sauta par dessus une poubelle, avant de passer sous une barre métallique, de courir sur le toit d'un voiture, de sauter sur un carton plus loin et de rejoindre le sol pour se faufiler entre les fougères et les arbres. La féline était tout près de lui, il se sentait plus en sécurité maintenant qu'elle était là. Un fois qu'il fut sûr d'être hors de porté il s'arrêta essoufflé, regarda la belle chatte ébène et lui demanda avec des halètements :
"Merci..... tu... t'appelles.... comment ?.." dit-il en essayant de reprendre sa respiration.
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Feuille de Guerrier Rang: Chaton/Chatonne Mentor/Apprenti: Pas l'âge pour être apprentie. Compagne/Compagnon: J'ai que 5 lunes !!! | Sujet: Re: Cours de Murmure du Soir Mer 12 Oct - 11:49 | |
| Ben déjà peut être pourrais-tu décrire un peu plus ton environnement, le temps qu'il fait etc... Ensuite décrire le chat que tu a en face de toi et peut être l'homme. Ainsi que la position du soleil dans le ciel pour nous donner une idée aproximative de l'heure. ^^" |
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Feuille de Guerrier Rang: Chaton/Chatonne Mentor/Apprenti: Pas l'âge pour être apprentie. Compagne/Compagnon: J'ai que 5 lunes !!! | Sujet: Re: Cours de Murmure du Soir Ven 4 Nov - 16:54 | |
| Murmure ?
Ah et si tu pouvais m'envoyer le lien de ce RP que je le lise en entier s'il-te-plait. ^^" |
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| Sujet: Re: Cours de Murmure du Soir Sam 5 Nov - 10:11 | |
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Feuille de Guerrier Rang: Chaton/Chatonne Mentor/Apprenti: Pas l'âge pour être apprentie. Compagne/Compagnon: J'ai que 5 lunes !!! | Sujet: Re: Cours de Murmure du Soir Sam 5 Nov - 11:43 | |
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